jeudi 1 novembre 2012

Porte ouverte

La porte fausse


Cette porte, passage étroit entre la ville moderne des rives du Paillon et la ville basse, ouverte dès le XVIIIe siècle, donnait accès au quartier « Lou Bersalh » ; en langue niçoise, ce mot signifie « cible », ce qui laisse supposer la présence en ce quartier d’une aire de tir à l’arc.
Du côté de la rue du Marché, la fontaine a été édifiée en 1830. La porte a été élargie dans la première moitié du XXe siècle.
L’arrivée de la ligne 1 du tramway a donné l’occasion à Serkis Zabunyan, dit Sarkis, de créer l’une des œuvres du musée à ciel ouvert de Nice : « les postes restantes » ; les matériaux utilisés sont le marbre et la feuille d’or ; un plateau de marbre recueille les messages sous forme d’enveloppes, cartes postales… qui y seront déposées par les habitants du quartier et les visiteurs.
La photo de droite qui est de moi (alors que la photo de gauche a été prise par Yihung Chou) aurait pu être publiée aujourd’hui sur le blog Défifoto pour le thème « porte ouverte ».

2 commentaires:

manouche a dit…

Mieux que des portes ce sont des Entrées!

Mildred a dit…

Ta photo me fait penser à une mésaventure qui est arrivée à un père de famille et dont la fille avait un petit besoin pressant.
Comme le père ne pouvait vite ramener sa gosse à l'apart pour qu'elle se soulage il lui a fait faire pipi derrière un arbuste!
Seulement voilà! Un gentil agent très malin qui passait par là lui a mis un pv!