Le confident

Deux sièges séparés par un claustra ajouré et percé d’un ovale, ce joyau urbain tout d’aluminium enchâssant des perles soufflées à Venise aux couleurs des mille et une nuits est Le confident de Jean-Michel Othoniel qui invite à la conversation dans le jardin du square Lépine à  Nice à proximité immédiate de la station de tramway Valrose-Université. Jean-Michel Othoniel est un artiste né en 1964 à Saint-Étienne dont vous pouvez voir une bouche de métro sur la place du Palais-Royal à Paris.

Ce confident comme une douzaine d’autres œuvres, a été financé par le 1% culturel lié aux travaux de construction du tramway pour ce qui constitue un véritable musée d’art contemporain en plein air. J’ai déjà photographié et commenté les œuvres suivantes que vous pouvez aller voir en cliquant sur la date de parution sur ce blog indiquée après le nom de l’artiste et le titre de l’œuvre :

Michael Craig Martin (Grande-Bretagne): Cascade d’objets du quotidien 15/09/2010

Sarkis (France): Les postes restantes de la porte fausse 1/11/2012

Ben (France) : Aphorismes 15/11/2012

Gunda Förster (Allemagne): Blue 9/03/2013

Jaume Plensa (Espagne) : Conversation à Nice 17/08/2013 
Stéphane Magnin et Pascal Pinaud (France) : Composition exubérante de réverbères hybrides 11/04/2015 

Voir la liste complète des œuvres en cliquant ici.

Vous trouverez les autres participants à cette chronique hebdomadaire sur le blog d’Amartia dans sa rubrique La photo de la semaine

Gueule d’amour 71

Bruno le 13 octobre 2013 à 13h45

Avec ou sans accoudoir

Pour l’un de mes prochains rendez-vous photographiques sur ce blog, je suis à l’affût de mobilier design.

Passant sur la promenade du Paillon, j’ai photographié ce banc de profil avant.

Puis de trois-quart dos avec la statue de Masséna devant.

Il y a aussi des bancs sans dossier

Plus originaux encore sont ces fauteuils pivotants que l’on peut orienter pour faire face ou tourner le dos à son voisin mais que l’on ne peut pas déplacer puisqu’ils sont fixés au sol par un pied.

Enfin non loin de là un magnifique banc avec un seul accoudoir dont la fonction première n’est pas le confort d’une des personnes assises sur ce banc mais bien l’inconfort de celui qui tenterait de s’y allonger. Lire à ce sujet l’article Quand les bancs publics créent des exclusions en cliquant ici.

Fernand Léger

La semaine dernière, je suis allé à Biot revisiter le Musée national Fernand Léger pour y voir en particulier l’exposition temporaire Fernand Léger : Reconstruire le réel qui se termine le 2 juin.

Vous pouvez lire un bel article de Jean-Pierre Lamouroux à propos de la construction du musée et de la plantation des arbres qui l’entourent sur le site ciaovivalaculture en cliquant ici.

L’exposition Fernand Léger : Reconstruire le réel organisée par la Réunion des musées nationaux-Grand Palais, les musées nationaux du XXe siècle des Alpes-Maritimes et le musée des beaux-arts de Nantes sera visible ensuite du 20 juin au 22 septembre 2014 au Musée des beaux-arts de Nantes ; voir ici.

Je ne publie aujourd’hui que des vues de l’extérieur du Musée Fernand Léger, les murs du bâtiment et des céramiques qui sont dans le jardin.

Pour tout savoir sur le Musée national Fernand Léger, cliquez ici. Et pour en découvrir son directeur, Maurice Fréchuret, cliquer là.