Les soldats de Jakob Lenz, Dom
Juan de Molière, Toller de
Tankred Dorst, Le massacre à Paris de
Christopher Marlowe, Lear d’Edward
Bond, Loin d’Hagondage de Jean-Paul
Wenzel, Peer Gynt d’Henrik Ibsen, Combat de nègre et de chiens de
Bernard-Marie Koltès, Les paravents
de Jean Genet, La fausse suivante de
Marivaux, Quartett d’Heiner Muller, Quai Ouest de Bernard-Marie Koltès, Dans la solitude des champs de coton Bernard-Marie
Koltès, Platonov d’Anton Tchekhov, Hamlet de Shakespeare, Le retour au désert de Bernard-Marie
Koltès, La douleur de Marguerite
Duras, La nuit juste avant les forêts
de Bernard-Marie Koltès, Coma de
Pierre Guyotat.
De ses mises en scène d’opéra je n’ai vu que Lulu d’Alban Berg, Lucio Silla de Mozart et Wozzeck
d’Alban Berg.
Côté cinéma j’ai vu tous les films qu’il a réalisés :
La chair de l’orchidée, Judith Therpauve, L’homme blessé, Hôtel de France,
Contre l’oubli, La reine Margot, Ceux qui m’aiment
prendront le train, Intimité, Son frère, Gabrielle, Persécution et
une bonne partie de ceux où il a joué : Danton d’Andrzej Wajda, Adieu
Bonaparte de Youssef Chahine, Le
dernier des Mohicans de Michael Mann, Lucie
Aubrac de Claude Berri, Le temps
retrouvé de Raoul Ruiz, Le temps du
loup de Michael Haneke.
La dernière fois que j’ai vu Patrice Chéreau sur
scène ce fut au Théâtre de la Ville le lundi 10 septembre 2012 où il lisait des
extraits des Carnets de Nijinski au
milieu des danseurs Du printemps chorégraphié
et mise en scène par Thierry Thieu Niang.
Vous trouverez les autres participants à cette
chronique hebdomadaire sur le blog d’Amartia dans sa rubrique La photo de la semaine