Le spectacle débute par une lecture des Carnets de Nijinski qui a chorégraphié
le Sacre du printemps, ballet composé
par Igor Stravinski pour les Ballets russes de Diaghilev que Nijinski ne cesse
de critiquer. C’est Patrice Chéreau le lecteur.
Dans le programme, Thierry Thieu Niang le
chorégraphe de ce « … du
printemps ! » cite ses références : Pina Bausch, Nijinski.
Pour ma part, j’ai eu la chance de voir Le sacre du printemps dans les
chorégraphies de Maurice Béjart, Pina Bausch, Angelin Preljocaj et Mats Ek
ainsi que le film Pina de Wim Wenders
qui constitue une double référence et pour le Sacre et pour la danse par des personnes âgées.
Vous trouverez les autres participants à cette
chronique hebdomadaire sur le blog d’Amartia dans sa rubrique La photo de la semaine
5 commentaires:
La danse telle que je l'aime, dépouillée de ses tutus comme pour mieux entrer dans la réalité.
Je ne connais seulement que celle de Pina Bausch. Mais j'aime comme Amartia la danse "très près du corps". Bisous et belle journée
Ca passe aussi à Nice?
Belle journée
Pina Bausch peut m'émouvoir aux larmes, quant à Béjart, ses chorégraphiques sont d'une vigueur qui ne s'altère pas. J'aime leurs oeuvres.
J'avoue très honnêtement que je ne connais pas ... De nom bien sûr, mais c'est tout !
Très belle soirée et doux bisous !
Cathy
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