Le 23 février 2009 je citais ici même
quelques-unes des œuvres d’art que je possède et en particulier un tableau de
Nicolas d’Hautefeuille.
Plutôt que de me contenter de le décrire, j’ai aujourd’hui
envie de le montrer et d’expliquer le coup de foudre que j’ai eu pour ce
tableau, coup de foudre qui continue à faire effet plus de dix ans après sa
découverte.
C’est en mars 2000 que la librairie Mollat a eu la
bonne idée de décorer toutes ses vitrines de la rue Vital Carles et de la rue
Porte Dijeaux avec des tableaux de Nicolas.
À l’époque j’habitais rue
Saint-Rémi à Bordeaux dans le prolongement de la rue Porte Dijeaux. Pour l’occasion,
son cousin Antoine qui est par ailleurs mon meilleur ami est venu de Paris
passer quelques jours chez moi et nous avons rendu visite à Nicolas.
C’est là que j’ai découvert cet autoportrait d’un
format plus conséquent que les tableaux faits pour les vitrines de la librairie
et surtout le titre inscrit dans le bandeau blanc caractéristique des
couvertures de Folio et j’ai immédiatement fait le rapprochement avec le
livre de Howard Buten Quand j’avais cinq
ans je m’ai tué. Livre que j’ai adoré d’un auteur que
j’avais rencontré quelques années auparavant chez des amis communs.
Vous pouvez le constater le tableau est accroché
dans ma bibliothèque où il a toute sa place.
C’est
comme si ce tableau avait été fait pour moi par Nicolas d’Hautefeuille
2 commentaires:
Ton faux Lio a plus de caractère dans le regard que la vraie.
Je me sens en terre de connaissance, rue saint Rémi, Porte Dijeaux
Mollat ! ! ! où je reviens toujours !
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