samedi 29 juin 2013

Un été pour Matisse



A l’occasion du cinquantième anniversaire du Musée Matisse, la ville de Nice rend un hommage au peintre qui vécu plus de trente ans dans cette ville. Dans huit musées de la ville se déploient huit expositions autour de Matisse. C’est l’opération Un été pour Matisse.
Ici, au Musée Matisse, à côté des collections permanentes, dans l’exposition Matisse, la musique à l’œuvre, ce sont les costumes qu’il a dessinés en 1920 à la demande du chorégraphe des Ballets russes, Léonide Massine pour le ballet Le chant du rossignol dont la musique a été composée par Igor Stravinski.
Cette opération Un été pour Matisse est une occasion unique de voir rassemblées des œuvres de ce peintre et sculpteur qui a marqué le vingtième siècle, œuvres de Matisse prêtées par les musées du monde entier mais aussi sorties de collections privées ainsi que des œuvres de peintres dont Matisse s’est inspiré et des œuvres d’artistes qui rendent hommage à Matisse en le citant, le parodiant, le prolongeant… Un pass pour l’entrée dans les huit musées est en vente au prix tout à fait abordable de dix euros. Mais pour les niçois qui avaient l’habitude de l’entrée gratuite dans tous les musées municipaux c’est un drôle de changement, d’autant que le pass n’est valable que sept jours, passé ce délai, il faut repayer dix euros pour pouvoir pénétrer dans les musées participants à cette opération. Cette opération dure trois mois du 21 juin au 23 septembre. Si quelques fous furieux comme moi envisagent assez sereinement de voir huit expositions en sept jours, je crois qu’il aurait été bon de ne pas introduire cette contrainte temporelle dont je ne vois pas l’utilité. L’effet pervers de cette opération est que je vais diminuer drastiquement mes visites dans les musées niçois pendant trois mois. L’an dernier entre le 21 juin et le 23 septembre j’ai reçu en couch surfing 33 personnes, pour la plupart des étrangers à qui j’ai fait visiter Nice. Peu d’entre eux ont raté le Palais Lascaris, presque tous ont vu le Mamac et un bon nombre m’ont accompagné au Musée Matisse. Cette année, mes visiteurs n’iront dans les musées que s’ils en ont l’idée ou le désir mais sans moi. Je suis d’ailleurs curieux de savoir si au final cette opération augmentera ou non le nombre de visiteurs des musées participants. Côté effets pervers, ce qui est dramatiquement drôle, c’est de voir les hôtesses d’accueil à l’entrée des musées se débattre avec leur caisse, leur ordinateur pour lequel elles ont été peu ou mal formées. Au Musée Masséna, alors qu’il y avait quatre personnes derrière la caisse, il m’a fallu attendre presque vingt minutes pour pouvoir rentrer le temps que la plus expérimentée arrive à entrer les informations pour mon pass tandis que les autres se lamentaient.
Vous trouverez les autres participants à cette chronique hebdomadaire sur le blog d’Amartia dans sa rubrique La photo de la semaine

jeudi 27 juin 2013

Gueule d’amour 32




Ege le 25 juillet 2012 à 10h05

samedi 22 juin 2013

Jardin éphémère



 Cette semaine, j’ai fait un court séjour à Paris. Mardi sur le chemin de la place du Châtelet où j’allais écouter un concert de musique klezmer, je suis passé place de l’Hôtel de Ville qui avait été métamorphosée en un vaste jardin.
Vous trouverez les autres participants à cette chronique hebdomadaire sur le blog d’Amartia dans sa rubrique La photo de la semaine et quelques photos et vidéos sur cet événement ici.

vendredi 21 juin 2013

Gueule d’amour 31




Adam le 29 juillet 2012 à 20h00

jeudi 20 juin 2013

Land art


 
 Au fil de mes promenades en bord de mer, j’ai eu à plusieurs reprises la joie de découvrir des oeuvres de land art. A Nice, c’est à base de galets 

 


Avec parfois un peu de sable

Mais les œuvres les plus élaborées sont faites sur les plages de sable comme ici à Antibes
C’est de l’art au ras du sol mais pas forcément au ras des pâquerettes.

dimanche 16 juin 2013

Gueule d’amour 30




Thomas le 31 juillet 2012 à 19h17