mardi 19 juin 2012

Nicolas d’Hautefeuille


Le 23 février 2009 je citais ici même quelques-unes des œuvres d’art que je possède et en particulier un tableau de Nicolas d’Hautefeuille.
Plutôt que de me contenter de le décrire, j’ai aujourd’hui envie de le montrer et d’expliquer le coup de foudre que j’ai eu pour ce tableau, coup de foudre qui continue à faire effet plus de dix ans après sa découverte.
C’est en mars 2000 que la librairie Mollat a eu la bonne idée de décorer toutes ses vitrines de la rue Vital Carles et de la rue Porte Dijeaux avec des tableaux de Nicolas. 
À l’époque j’habitais rue Saint-Rémi à Bordeaux dans le prolongement de la rue Porte Dijeaux. Pour l’occasion, son cousin Antoine qui est par ailleurs mon meilleur ami est venu de Paris passer quelques jours chez moi et nous avons rendu visite à Nicolas.
C’est là que j’ai découvert cet autoportrait d’un format plus conséquent que les tableaux faits pour les vitrines de la librairie et surtout le titre inscrit dans le bandeau blanc caractéristique des couvertures de Folio et j’ai immédiatement fait le rapprochement avec le livre de Howard Buten Quand j’avais cinq ans je m’ai tué. Livre que j’ai adoré d’un auteur que j’avais rencontré quelques années auparavant chez des amis communs.
Vous pouvez le constater le tableau est accroché dans ma bibliothèque où il a toute sa place.
C’est comme si ce tableau avait été fait pour moi par Nicolas d’Hautefeuille

2 commentaires:

manouche a dit…

Ton faux Lio a plus de caractère dans le regard que la vraie.

fanfan du fatras a dit…

Je me sens en terre de connaissance, rue saint Rémi, Porte Dijeaux

Mollat ! ! ! où je reviens toujours !