Vestige du rempart médiéval contre lequel s’appuyait
la tour de la porte des prêcheurs ou frères dominicains. Elle fut photographiée
en 1854 par Charles Nègre (1820-1880). Le nom du quartier dit « l’Arc de
Constantin », situé au sud du rempart, rappelle le souvenir d’un arc de
triomphe édifié au IVe siècle et détruit au XVIIe siècle.
Cette photo de la semaine est ainsi en quelque sorte
une suite au message précédent Mise en
abyme.
Vous trouverez les autres participants à cette
chronique hebdomadaire sur le blog d’Amartia dans sa rubrique La photo de la semaine
Bel équilibre, entre deux temps...
RépondreSupprimerUne ville que j'aime beaucoup !
RépondreSupprimerLe triomphe a chu mais il reste son vestige. Encore un peu d'espoir donc.
RépondreSupprimerUn contraste tout en douceur.
Et Arles pour une invisible Mireille c'est toujours un plaisir.
Bravo de la niçoise au niçois.
Bises et belle journée.
Qui n'a pas entendu parler d'Arles et de sa célèbre arlésienne ? Bel instantané, merci François et bon week end
RépondreSupprimerUn bout d'histoire d'une ville que je ne connais malheureusement pas.
RépondreSupprimerOu quand l'ancien et le moderne se côtoient pour ne faire qu'un ... ou presque ! On a un peu la même chose dans notre ville ! Un reste de voie romaine sous le sol (en verre) de notre médiathèque !
RépondreSupprimerBon dimanche !
Cathy
les murs marque le temps et s'y inscrit lehistoire merci le françois de Nice.en voyage.
RépondreSupprimerVoilà le genre de vestige que l'on ne risque pas de rencontrer à Montréal!
RépondreSupprimerBon dimanche
Superbe photo, bravo !
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